Je cuisine plus vite que j'écris, depuis un certain temps, mais ce n'est pas une raison pour vous négliger. J'ai eu une grosse journée hier, alors j'étais fatiguée (bla bla bla). Sans autre préambule, voici que ce j'ai préparé lundi, mardi et mercredi soir.
Lundi soir: gratin de courge spaghetti à la sauce tomate. Habituellement je cuisine seule, ou c'est mon chum qui cuisine. Seul, il va sans dire. Je déteste jouer l'assistante et comme cuisiner me détend et que nous avons tous nos façons de faire, j'évite les sources de stress...
Cette fois, c'est Gnobulix qui a fait la sauce, à partir d'une boîte de tomates, d'ail, d'oignons et de champignons. Pendant ce temps, j'ai fait cuire la courge au four un gros 45 minutes à 350°F (180°C), avec un filet d'huile et du sel, puis j'ai retiré la chair en gratant à l'aide d'une fourchette pour former des «spaghettis». Le tout a été mélangé à la sauce, placé dans un plat à gratin, couvert de fromage et placé quelques minutes sous le grill. Ma foi, c'était excellent!
Mardi soir: fusillis à la chinoise. Une version inspiré du fameux macaroni chinois, mais qui s'en éloigne sur tous les points, puisque j'ai fait à partir de ce que j'avais sous la main. Les macaronis ont donc été remplacés par des fusillis (type de pâtes que je n'aime pas trop mais qui convenait pour ce plat), la viande hachée est de l'orignal et comme légumes, j'ai mis des zucchinis jaunes, du poivron orange, de l'oignon et du brocolis. J'ai fait sauter le tout dans de la sauce terriyaki, de la sauce aux harricots noirs et dans de la sauce soya claire.
Visuellement, ce plat n'a rien d'intéressant. J'ai trouvé cela ordinaire (ma première idée était de faire un bœuf au brocoli!), mais Gnobulix a bien aimé. Tant mieux, c'est lui qui a hérité des restes pour son lunch!
Ce soir: hamburgers à l'orignal avec une salade césar. Ces plats se passent de présentation, alors je vous épargne les photos. Je me contenterai de préciser que j'ai fait la sauce à salade. Nous n'en achetons jamais, car c'est d'une simplicité à faire et tellement meilleur (sans agents de conservation et autres méchants produits dont on n'arrive pas à prononcer le nom: if you can't pronounce it, don't eat it!). En général, nous en restons à la vinaigrette balsamique (ou au vinaigre de ci ou de ça, selon la fantaisie de celui qui la prépare, Gnobulix le plus souvent). Cette fois, je voulais une vinaigrette crémeuse.
Les puristes me diront que ce n'est pas comme cela qu'on fait une vinaigrette pour salade césar, ce à quoi je répondrai: «eh bien, montrez-moi comment!». Donc, j'ai mis dans le mélangeur un oeuf et 3/4 (le reste est allé dans la viande hachée pour les hamburgers), une gousse d'ail, une cuillère à table de moutarde de dijon, trois de vinaigre de vin blanc, du sel, quelques gouttes de sqauce worcestershire. J'ai mélanger le tout quelques secondes, puis j'ai ajouté en filet une tasse d'huile d'olive. Elle était excellente, cette sauce, quoiqu'elle goûtait trop l'ail. Jai ajouté à la laitue du parmesan, des miettes de bacon et des croutons.
Voilà! Simplissime au point que je serai désormais complexée d'acheter de la mayonaise commerciale...
Lundi soir: gratin de courge spaghetti à la sauce tomate. Habituellement je cuisine seule, ou c'est mon chum qui cuisine. Seul, il va sans dire. Je déteste jouer l'assistante et comme cuisiner me détend et que nous avons tous nos façons de faire, j'évite les sources de stress...
Cette fois, c'est Gnobulix qui a fait la sauce, à partir d'une boîte de tomates, d'ail, d'oignons et de champignons. Pendant ce temps, j'ai fait cuire la courge au four un gros 45 minutes à 350°F (180°C), avec un filet d'huile et du sel, puis j'ai retiré la chair en gratant à l'aide d'une fourchette pour former des «spaghettis». Le tout a été mélangé à la sauce, placé dans un plat à gratin, couvert de fromage et placé quelques minutes sous le grill. Ma foi, c'était excellent!
Mardi soir: fusillis à la chinoise. Une version inspiré du fameux macaroni chinois, mais qui s'en éloigne sur tous les points, puisque j'ai fait à partir de ce que j'avais sous la main. Les macaronis ont donc été remplacés par des fusillis (type de pâtes que je n'aime pas trop mais qui convenait pour ce plat), la viande hachée est de l'orignal et comme légumes, j'ai mis des zucchinis jaunes, du poivron orange, de l'oignon et du brocolis. J'ai fait sauter le tout dans de la sauce terriyaki, de la sauce aux harricots noirs et dans de la sauce soya claire.
Visuellement, ce plat n'a rien d'intéressant. J'ai trouvé cela ordinaire (ma première idée était de faire un bœuf au brocoli!), mais Gnobulix a bien aimé. Tant mieux, c'est lui qui a hérité des restes pour son lunch!
Ce soir: hamburgers à l'orignal avec une salade césar. Ces plats se passent de présentation, alors je vous épargne les photos. Je me contenterai de préciser que j'ai fait la sauce à salade. Nous n'en achetons jamais, car c'est d'une simplicité à faire et tellement meilleur (sans agents de conservation et autres méchants produits dont on n'arrive pas à prononcer le nom: if you can't pronounce it, don't eat it!). En général, nous en restons à la vinaigrette balsamique (ou au vinaigre de ci ou de ça, selon la fantaisie de celui qui la prépare, Gnobulix le plus souvent). Cette fois, je voulais une vinaigrette crémeuse.
Les puristes me diront que ce n'est pas comme cela qu'on fait une vinaigrette pour salade césar, ce à quoi je répondrai: «eh bien, montrez-moi comment!». Donc, j'ai mis dans le mélangeur un oeuf et 3/4 (le reste est allé dans la viande hachée pour les hamburgers), une gousse d'ail, une cuillère à table de moutarde de dijon, trois de vinaigre de vin blanc, du sel, quelques gouttes de sqauce worcestershire. J'ai mélanger le tout quelques secondes, puis j'ai ajouté en filet une tasse d'huile d'olive. Elle était excellente, cette sauce, quoiqu'elle goûtait trop l'ail. Jai ajouté à la laitue du parmesan, des miettes de bacon et des croutons.
Voilà! Simplissime au point que je serai désormais complexée d'acheter de la mayonaise commerciale...
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